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Exposition Gust Graas

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En 2024, le Schëfflenger Konschthaus célèbrera le centenaire de Gust Graas.

Les images peuvent sauver, et les œuvres de Gust Graas ouvrent un univers magique, rempli de poésie. Son Abstraction Poétique a déjà fasciné des musées et des galeries à Londres, Paris, Bruxelles, Madrid, Barcelone, Berlin, Rome, Hong Kong et bien sûr aussi dans son Luxembourg.

Et cette fois-ci, du 20 avril au 18 mai 2024 au Schëfflenger Konschthaus avec son exposition « Inédits d’Atelier ».

Gust Graas, Européen de naissance, a vécu deux vies.

Le jour, comme manager de médias, la nuit, comme peintre.
Deux mondes si distincts dans un seul esprit.
Deux carrières parallèles sur le chemin du succès.
Depuis 1952 à RTL, création de Télé Luxembourg, de la radio allemande Vier fröhliche Wellen, de Radio Letzebuerg, du Hei Elei, de RTL-TVI en Belgique et de RTL+, la télévision allemande.
Cofondateur et Président de Luxair.

C’était un homme d’opinions, cofondateur de la CSJ et des Jeunesses Fédéralistes.

Je peins, donc je suis, tel était son credo. Sans la peinture, je perdrais mon âme.

Gust Graas
19 décembre 1924 – 19 février 2020

 

Exposition Marie-Josée Kerschen

Le Schëfflenger Konschthaus a le plaisir de démarrer la nouvelle année avec l’exposition très attendue intitulée Un Demi-Siècle de Sculpture, réalisée par l’artiste Marie-Josée KERSCHEN.

 

Le travail de Marie-Josée KERSCHEN tranche certainement avec ce que vous avez l’habitude d’admirer au Schëfflenger Konschthaus. Les sculptures de Madame KERSCHEN ne sont pas simplement des réalisations ; mais plutôt des expressions vivantes d’émotions, de poétiques et de symboliques. Toujours de la figuration, chaque sculpture de Marie-Josée KERSCHEN a une histoire à raconter, invite à l’introspection et nous fait découvrir le monde complexe que l’artiste a délicatement façonné au fil des années.

 

Originaire des terres rouges, Marie-Josée KERSCHEN est née à Esch-sur-Alzette en 1952, elle a laissé une empreinte indélébile dans le domaine de l’art avec cinq décennies de créativité et de vision hors du commun.

 

En 1992, elle décroche le prestigieux Prix Grand-Duc Adolphe ; le prix de la Quinquennale d’Esch suit en 1993.

 

Le dévouement de Marie-Josée KERSCHEN à son métier a non seulement enrichi la communauté artistique luxembourgeoise, mais a également eu un profond impact dans le monde de l’art.

 

L’exposition est présentée au Schëfflenger Konschthaus jusqu’au 24.02.2024.

Au plaisir de vous retrouver !

Pitt Brandenburger – Gardiens des Tourmalines

Le Schëfflenger Konschthaus a le plaisir d’ouvrir ses portes pour l’exposition Gardiens des Tourmalines réalisée par Pitt BRANDENBURGER – un artiste inclassable par sa façon de recréer et de façonner ses œuvres.

L’exposition présente environ 50 sculptures en bois – chaque pièce étant unique en son genre.

Pitt BRANDENBURGER est né en 1961 à Esch sur Alzette. Depuis son plus jeune âge, il est fasciné par la nature. Cet attrait a été nourri par de longues randonnées avec son père, jardinier, qui transmettait son savoir inépuisable sur les plantes et les animaux à son frère (aujourd’hui horticulteur) et lui-même. « Quand il parlait d’arbustes ou d’arbres, j’étais suspendu à ses lèvres. » Cet enthousiasme n’a jamais faibli, bien au contraire. Il n’est donc pas étonnant que Pitt ait choisi le bois comme matière pour ses créations artistiques, marquées partiellement par ses quatre années d’études en Arts Plastiques et aux Arts Décoratifs à Strasbourg.

Cette envie de créer et de transmettre son savoir-faire l’a accompagné pendant trente ans lors de sa fonction de professeur d’éducation artistique au Lycée des Arts et Métiers et au Lycée Aline Mayrisch.

L’exposition Gardiens des Tourmalines de l’artiste Pitt BRANDENBURGER vous invite à le rejoindre dans son univers composé de sa passion mystique et du lien très particulier qu’il voue aux éléments naturels où le bois joue un rôle capital.

L’évènement sera présenté du 21.10 au 02.12.2023, du mercredi au dimanche, de 14h à 18h au Schëfflenger Konschthaus.

Moritz Ney – Oeuvres Récentes

Moritz Ney est un artiste peintre- sculpteur luxembourgeois. Il est né le 26 juillet 1947 à Pétange. Il a commencé par exercer le métier de douanier.

 

En 1967, sa décision de devenir artiste le conduit chez le sculpteur Aurelio Sabbatini à Esch-sur-Alzette. C’est dans l’atelier de Sabbatini que Monsieur Ney fera ses premières expériences de sculpture.

En 1968, il fréquente la « Staatliche Werkhochschule » de Trèves en Allemagne  pour suivre des cours de dessin et de sculpture durant un semestre.

La même année, alors que cette école ferme ses portes, Moritz Ney rejoint le peintre, sculpteur et céramiste Albrecht Klauer-Simonis à Höhr-Grenzhausen toujours en Allemagne. Là, il prépare un dossier d’admission pour l’« Akademie der Bildenden Künste » à Karlsruhe.

De 1969 à 1972, il suit des cours de peinture avec les professeurs Herbert Kitzel et Horst-Egon Kalinovski, ainsi que des cours de sculpture avec le professeur Hans Kindermann.

De 1972 à 1980, Moritz Ney vit et travaille à Bruxelles.

En 1980, il retourne au Luxembourg, où il commence à travailler comme artiste indépendant.

Depuis 2019, l’artiste vit et travaille en Belgique.

 

Moritz Ney a fait avec succès plusieurs expositions collectives et personnelles à Luxembourg ainsi qu’à étranger.

 

En contemplant une sculpture ou une peinture de Moritz Ney, on comprend que chaque oeuvre est un poème où les proportions remplacent les rimes et sont à la fois sujets et âmes. Entre la figuration et l’abstraction, les œuvres de Moritz Ney sont faites d’une tendresse rude, d’une brutalité gentille.

 

Nous sommes donc très heureux de vous accueillir et de vous présenter l’exposition Oeuvres Récentes – Moritz Ney.

Exposition Rol Steimes

L’art a la remarquable capacité de transcender les barrières et de toucher les profondeurs de notre âme. Rol Steimes, grâce à sa créativité et à sa perspective unique, a créé un ensemble d’œuvres qui nous invitent dans un monde d’imagination, d’émotion et d’introspection.

L’artiste Rol STEIMES est né en 1968 à Dudelange. Son parcours des études artistiques a commencé dans la section beaux-arts du Lycée de Garçon, Esch.

En 2017, il a remporté le 1er prix du Salon d’Art Contemporain.

Les oeuvres de l’artiste sont présentées aux plusieurs Ambassades du Luxembourg, comme à Tokyo, Moscou, Abu Dhabi, Shanghai, Lisbonne… ainsi qu’au Ministère de la Culture et au Ministère des Affaires Étrangères.

Le Schëfflenger Konschthaus, en tant que havre d’expression artistique, est honoré d’offrir une plateforme à un artiste comme Rol Steimes, qui s’aventure sans crainte dans des territoires inexplorés, défiant les conventions et repoussant les limites de la créativité. Ses coups de pinceau magistraux, ses couleurs foncées et ses compositions évocatrices nous transportent dans des lieux mystérieux. Qu’il s’agisse de paysages envoûtants ou d’abstractions qui suscitent la réflexion, chaque œuvre nous invite à explorer et à découvrir, à nous connecter à nos pensées et à nos sentiments les plus profonds.

Les peintures de Rol Steimes doivent être analysées d’une façon plus figurative qu’il n’y paraît à première vue. La manière secrète, quasi métaphysique de Rol Steimes de représenter des lieux ou des objets réels amènera le spectateur à se poser une question : « Que se passe-t-il… »

C’est par sa voix artistique que nous nous rappelons les possibilités infinies qui se trouvent dans le domaine de l’imagination humaine.

L’exposition The Power of Silence de Rol Steimes se poursuit jusqu’au 15 juillet 2023 au Schëfflenger Konschthaus.

Expo Yvette GASTAUER

C’est par des corps tantôt lourds et massifs, porteurs de la pesanteur de l’humanité tantôt minces et longilignes s’orientant vers l’éternité de l’espace qu’elle se penche sur la question de souvenir de l’avenir, de ce qui était, de ce qui sera, de ce qui restera, de l’âme et de l’au-delà.

 

Le Schëfflenger Konschthaus a.s.b.l. est fière de présenter les magnifiques œuvres en terre cuite et en bronze de l’artiste sculpteur Yvette GASTAUER-CLAIRE. L’exposition « Les Traces de mes Emotions » se tient du 04 février au 25 février 2023.

 

Nos heures d’ouvertures sont du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Flyer de l’exposition.

Exposition: Ad Deville – Sa vie, son Œuvre

Le Schëfflenger Konschthaus vous invite à une rétrospective consacrée à l’artiste-peintre et sculpteur Ad Deville qui nous a quittés le 28 mai dernier.
La Commune de Schifflange tient à rendre hommage à celui qui vécut pendant presque soixante ans à nos côtés ici à Schifflange en organisant une exposition importante intitulée :

AD DEVILLE – SA VIE, SON ŒUVRE

et qui rassemblera une quarantaine d’œuvres de l’artiste.

L’exposition sera certainement une découverte émouvante puisqu’elle offre une vue d’ensemble impressionnante des multiples facettes de son travail : peintures à l’huile, aquarelles, sculptures et mosaïques. Cette plongée dans une œuvre protéiforme se veut le reflet d’une carrière exceptionnelle.
Ad Deville, qui était également professeur d’éducation artistique, se montre aussi éclectique dans le choix de ses sujets que dans les moyens de les exprimer. Même sous sa forme la plus abstraite, sa créativité reste indissociable de son intérêt pour la spiritualité.

Ad Deville se distingue notamment par la force de son tracé et de son coloris qui traduisent son amour pour les paysages provençaux et toscans. Son œuvre invite le spectateur à le rejoindre dans un univers composé de rencontres et de voyages à travers le temps.

L’exposition sera ouverte du 23 septembre jusqu’au 29 octobre 2022 de 14h-18h au Schëfflenger Konschthaus qui présente ici un artiste qui a su garder intacte jusqu’au bout sa passion de créer.

Voici le dépliant officiel

E Bléck op d’Ausstellung “Ballroom Glitch”

 

Family Tree (2020) –  Anne Lindner

L’œuvre représente un arbre généalogique revisité, développé en vertical pour souligner la connotation de descendance et de continuité qui ne donne pas cette impression de dispersion et de d’affaiblissement comme dans une représentation classique d’un arbre ramifié.

Le concept de famille se développe avec une forte puissance et suggestion sous les coups de pinceaux d’Anne Lindner. La verticalité du format incarne le pilier que l’institution familiale représente pour les plus chanceux d’entre nous ; que ce soit la famille d’origine, une qu’on trouve, ou celle qu’on se crée.

La famille est une continuité, pas seulement ou pas forcément biologique, mais avant tout, culturelle. Elle se transmet par le biais des processus d’apprentissage et d’échange dans l’objectif de perpétuer des habitudes, des mœurs, des traditions, des goûts, des points de vue. Tout cela pour surmonter la mort.

Il ne s’agit donc pas de vie et de mort à percevoir comme un binôme, mais de la circularité de l’éternel retour de la vie, marqué par la capacité de se projeter dans le futur et au-delà de la mort, par la joie de partager les progrès avec nos bien-aimés, ainsi que la participation innée à la souffrance de ceux-ci.

Parfois, dans sa reproduction d’une certaine immobilité comportementale, la famille peut aussi apparaître comme une entité négative, de laquelle on a tendance à s’échapper, tout en conservant une force centripète inéluctable, la désirant et la répudiant à la fois.

Le sens de la circularité et du retour s’exprime à travers le cercle. Cette figure géométrique est la base pour plusieurs éléments : les têtes, les bulles, les orbites, les seins, la « présence rouge » qui règne sur de la composition. Cela donne l’impulsion vitale au cœur de la matriarche, qui, à son tour, donne la vie par sa bouche (chez Anne les représentations anatomiques sont toujours arbitraires, ainsi qu’ambivalentes) à une petite créature qui se trouve en position fœtale dans la « présence rouge », à laquelle elle est reliée par des fils très fins et marqués.
Ce système circulatoire représente le principe primordial d’une progéniture. La matriarche, qui revit constamment dans cette lignée, à travers le véhicule culturel par excellence tel que la langue maternelle. Peut-être aussi, c’est pour cette raison que la bouche est caractérisée par une pigmentation fortement marquée. La bouche est reliée au cœur; et, pensant à Angela, n’oublions pas que la mère est une figure de référence, le tout premier exemple, elle est le soutien, la destinataire de notre recherche d’approbation, notre point de comparaison dans la recherche de nous-mêmes.

Venez découvrir cette œuvre au « Schëfflenger Konschthaus ». Vous y découvrirez une multitude de messages qu’elle peut encore vous dévoiler.

 

L’exposition est ouverte jusqu’au 13 février.

E Bléck op d’Ausstellung “Ballroom Glitch”

Angela (2020) –  Anne Lindner

 

“Angela” –  le seul prénom féminin présent dans l’exposition, mais certainement pas la seule présence féminine.

Qu’est-ce qu’Angela représente pour Anne? Angela est la mère de l’artiste, mais ce n’est pas  seulement à cause de son nom qu’ lle est représentée avec deux ailes amples.

Angela fait figure d’ange-gardien: la personne qui est là en cas de besoin, celle qui t’aide, la mère. C’est probablement pour cette raison, que l’artiste l’a choisie comme précurseur de cette exposition qui célèbre le concept de la vie, contrairement à la première impression qu’on peut avoir.

Angela est avant tout une procréatrice, un concept qui est  également extrêmement présent dans les autres œuvres. Le thème incarne la dualité par excellence: la vie et la mort. Malheureusement, la maladie s’impose comme un tyran et nous oblige à la dure réalité, à la peur impitoyable de la perte de ceux que nous aimons.

Le ventre d’Angela abrite une petite créature, qui est probablement à interpréter comme un autoportrait ancestral. Ou mieux comme l’amour et l’espoir qui représentent les seuls appuis et les seules armes pour combattre la maladie et la mort imminente. Cette dernière se trouve représentée par une entité éthérique, pourtant bien définie tant dans son profil humain que dans son profil squelettique. De là, partent des tentacules, prémonition de mort et de destruction dans toutes les œuvres d’Anne Lindner.

Ce double visage de la mort incarne sa dualité, conçue comme la coexistence de la dimension d’un côté humain et de l’autre côté effrayante et insaisissable. La première dimension est celle que nous expérimentons à travers la rationalité et l’ensemble des pratiques qui ont caractérisé la civilisation depuis l’époque des temps; la deuxième est enracinée dans le soi de chacun et est indomptable.

La dualité, le binarisme comme opposition, pourrait se prêter comme sous-titre à cette exposition, puisqu’elle se présente comme une constante dans chaque œuvre. Et le titre, qui n’est pas « la vie », bien que ceci soit le point de départ de chaque oeuvre, représentant intrinsèquement la dualité de la joie et de la perfection d’une salle destinée à accueillir un somptueux bal et le « glitch », une interférence, qui empêche une chose de réussir ou de fonctionner comme elle devrait.

Nous vous invitons à explorer et approfondir tous les thèmes sous-jacents à l’exposition grâce à la rencontre directe avec Anne Lindner et la galeriste.

L’exposition est ouverte jusqu’au 13 février.

« Schëfflenger Konschthaus » – Exposition d’Anne Lindner « Ballroom Glitch »

FR:  Anne Lindner est née en Allemagne, a grandi au Luxembourg et a obtenu un master en arts en Angleterre. Après ses études, elle installe son atelier au Luxembourg et y travaille. Depuis peu, le Ministère de la Culture lui a octroyé un atelier au château de Bourglinster.
Pour l’artiste, nos âmes transportent des souvenirs, qui à la naissance s’effacent. Par instants, la vie nous amène à ces rappels auxquels souvent nous ne prenons pas le temps de chercher pourquoi cela nous vient à l’esprit. C’est probablement cet élément de réflexion qui nous amène à regarder ses œuvres comme des rêves interprétés.
Au regard de ces œuvres, nos pensées s’évaderont vers des souvenirs évoqués par l’œuvre ou par ces rappels de mémoires que nous portons en nous.

Nous aimerions vous rappeler que des lectures des œuvres individuelles ou en groupes restreints sont possibles à tout moment au cours de l’exposition. Elles peuvent éventuellement être demandées à l’avance au numéro (+352) 621 63 83 93 ou par mail .

Heures d’ouvertures: du mardi au samedi de 10.00 heures à 13.00 heures et de 14.00 heures à 18.00 heures

 

LU: D’Anne Lindner ass an Däitschland gebuer, zu Lëtzebuerg opgewuess an huet e Master of Arts an England kritt. No hire Studien huet si hiren Atelier zu Lëtzebuerg ageriicht an do geschafft. Viru kuerzem huet de Kulturministère hir en Atelier am Schlass vu Buerglënster ginn.
Fir d’Kënschtlerin droen eis Séilen Erënnerungen, déi bei der Gebuert geläscht ginn. Heiansdo bréngt eis d’Liewen zu deenen Erënnerungen zeréck, och wa mir eis dacks net d’Zäit huele fir erauszefanne firwat dat eis geschitt. Et ass warscheinlech dëst Reflexiounselement, dat eis dozou féiert, hir Wierker als interpretéiert Dreem ze gesinn.
Wann ee sech dës Wierker ukuckt, da fléien eis Gedanken un Erënnerungen, déi mir an eis droen an déi duerch d’Wierk ervirgeruff ginn.

D’Galerie ass op vun dënschdes bis samschdes vun 10.00 bis 13.00 Auer a vu 14.00 bis 18.00 Auer. Et kann een och e Rendez-vous ausmaache fir eng Visite guidée mat der Galeristin Claudia D‘Incà.

Mellt Iech w.e.g. un um Telefon 621 63 83 93 oder maacht eng Mail op

 

DE: Anne Lindner wurde in Deutschland geboren, wuchs in Luxemburg auf und erwarb in England einen Master of Arts. Nach ihrem Studium richtete sie ihr Atelier in Luxemburg ein und arbeitete dort. Kürzlich gewährte ihr das Kulturministerium einen Workshop im Schloss Bourglinster.
Für die Künstlerin trägt unsere Seele Erinnerungen in sich, die bei der Geburt verblassen. Manchmal bringt uns das Leben zu diesen Erinnerungen, und oft nehmen wir uns nicht die Zeit, um herauszufinden, warum es uns in den Sinn kommt. Es ist wahrscheinlich dieses Element der Reflexion, das uns dazu bringt, ihre Werke als interpretierte Träume zu betrachten.
Wenn wir diese Werke betrachten, werden unsere Gedanken in Erinnerungen flüchten, die wir in uns tragen, die durch das Werk hervorgerufen werden.

Die Galerie ist von Dienstag bis Samstag von 10 bis 13 Uhr und von 14 bis 18 Uhr geöffnet. Sie können auch einen Termin für eine Führung mit der Galeristin Claudia D’Incà vereinbaren.

Bitte benachrichtigen Sie die Galeristin telefonisch unter 621 63 83 93 oder per E-Mail an