D’Expo ass vum 04 Februar bis de 25. Februar 2023 op.
14:00-18:00
Ëffnungszäiten a weider Informatiounen iwwert d’Galerie fannt Dir hei.
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D’Expo ass vum 13. Januar bis den 29. Januar 2023 op.
14:00-18:00
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D’Expo ass vum 13. Januar bis den 29. Januar 2023 op.
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Le Schëfflenger Konschthaus a le plaisir de démarrer la nouvelle année avec l’exposition qui s’intitule Steel Industry de l’artiste Jacques SCHNEIDER.
Depuis 15 ans, l’artiste Jacques SCHNEIDER travaille sur la mémoire du Luxembourg à travers son passé industriel; à travers cette exposition, il vous présente un recueil de peintures, de collages, de photographies et de portraits. Un regard bienveillant sur un monde ouvrier qui créa la paix, tout en construisant l’Europe.
L’exposition Steel Industry sera ouverte du 13 au 29 janvier 2023.
De Weekend vum 3. a 4. Dezember 2022 kënnt et endlech zu eisem Projet „Hidden Sessions“ am Kader vum Kulturjoer Esch2022. Well de Festival am Summer leider net konnt organiséiert ginn, hu mir en op de Wanter verluecht. Dofir ass d’Gemeng Schëffleng immens frou fir Grouss a Kleng op dës speziell Editioun vun engem Hidden Sessions Festival z’invitéieren an zwar a Form vun engem Marché d(h)ivers mat Musek, Animatioun an diverse Stänn ronderëm d’Schëfflenger Konschthaus.
Save the date:
Samschdes, den 3. Dezember vun 18:00 bis 01:00 Auer
Sonndes, de 4. Dezember vu 14:00 bis 20:00 Auer
Déi offiziell Ouverture ass sonndes, de 4. Dezember géint 14:00 Auer an d’Arrivée vum Kleeschen op der Gare/Fräiheetsplaz ass fir 15:00 Auer geplangt.
Kommt laanscht a loosst Iech an enger wanterlecher a moderner Atmosphär verzauberen. Méi wéi eng Iwwerraschung steet um Programm…
Méi Infoen hei
Du samedi 12 novembre au samedi 17 décembre 2022, le Schëfflenger Konschthaus vous accueille pour le duo d’exposition qui s’intitule Shadow and Reflection réalisée par l’artiste peintre Stéphanie UHRES et l’artiste sculpteur Daniele BRAGONI.
Stéphanie UHRES est née et elle a grandi au Luxembourg. L’artiste s’est intéressée au dessin dès son plus jeune âge. Après avoir obtenue son diplôme d’études d’art à Bonn en 2005, Stéphanie Uhres est restée en Allemagne et s’est établie comme artiste indépendante près de Cologne. Les œuvre de Stéphanie Uhres nous invitent à la rejoindre dans son univers composé de ses voyages et de ses rencontres au fil du temps. En observant ses oeuvres, nous avons l’impression que tout est très simple, que l’image s’est construite très naturellement. Pourtant, la technique de réalisation est très complexe, elle développe sa technique réaliste, basée sur la palette de couleurs de maîtres anciens. Avec le résultat que tout semble s’envoler, tout semble enchanter sur ses toiles.
Daniele BRAGONI, lui aussi, est né au Luxembourg. Son parcours d’études commence à la prestigieuse « Academia delle Belle Arti » de Carrara. Actuellement il vit et travaille en Bretagne, dans les Côtes d’Armor. Depuis ses début, l’artiste sculpteur, est tombé amoureux du marbre en travaillant longtemps dans les carrières de Carrara en Toscane. C’est en rencontrant cette matière froide, noble et mystérieuse, que son désir de sculpter est né et il ne le quittera plus.
Ses œuvres sont le fruit de l’acte sculptural d’une pensée et d’une philosophie en aval. Selon l’artiste Daniele Bragoni, une oeuvre réussie est une oeuvre qui est forte, harmonieuse, sensible et qui dégage des émotions.
Nouvelle exposition au Schëfflenger Konschthaus
De deux artistes Anne Lindner et Christian Neuman
14.05.22 > 18.06.22
Ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 18h
2, avenue de la Libération. L-3850. Schifflange. Luxembourg.
Anne Lindner, artiste professionnelle, est née à Cologne en 1981. Elle a déménagé au Luxembourg à l’âge de cinq ans avec sa famille. Elle a obtenu son Bac des Beaux Arts de l’Université de Monfort, Leicester, en Angleterre. Elle a fait plusieurs études en Art, Littérature en Grande Bretagne, en Allemange et au Luxembourg.
Le travail d’Anne Lindner est une réflexion sur les questions émotionnelles et sociales reflétant la société elle-même. Son principal intérêt réside dans la découverte du monde souterrain, du subconscient des gens, dépeignant délicatement le monde affective des personnes qui l’entourent. L’utilisation de différents médias et matériaux constitue sa force créative: Les éléments qui nous entourent, les matériaux et objets du quotidien. Elle aime piéger le spectateur dans une univers brutal et parfois agressif, mais le travail lui-même est à la fois très fragile et vulnérable.
Son engouement pour l’utilisation des contrastes et des contraires est une constante récurrence dans son langage visuel.
En 2013, elle a remporté le «Prix de Révélation» du Cercle Artistique du Luxembourg avec son travail photographique «Behind Closed Doors». La même année, elle a reçu le ‘Prix MédiArt’ de Mediart, Luxembourg.
Christian Neuman, peintre et cinéaste, est né au Luxembourg
Christian Neuman joue beaucoup et consciemment avec la perception visuelle, il ne se laisse pas enfermer dans une catégorie. Dans cette exposition composée uniquement de tableaux récentes, l’œil est constamment confronté à l’inédit et au surprenant, dans un permanente franchissement des frontières.
Dans son travail, il montre des paysages non figuratifs et délavés, d’autres des thèmes typiques des films d’horreur comme des cadavres, des cimetières, des crânes ou des fantômes. Motifs qui représentent peut-être le traitement visuel des peurs primaires.
Des images pop art colorées inspirées de la culture underground telles que « Violets » ou « Radiant » trouve aussi leur place, tout comme des installations d’images punk/trash de la présentation de la nature. C’est une exposition qui se nourrit de forts contrastes visuels.
Avec son art, l’artiste luxembourgeois se déplace « à la limite de l’expression pure afin de capturer sans fioritures les états authentiques des émotions humaines » – comme il le dit lui-même, et ce à la fois en tant que cinéaste et en tant que photographe et peintre.
Christian Neuman a étudié en Allemagne, en Angleterre et aux États-Unis, il est titulaire d’un baccalauréat en conception de médias et d’une maîtrise de la London Film School. Il a déjà exposé en Allemagne, au Luxembourg, aux États-Unis et en Angleterre.
L’exposition “The Silence of the High Pines” d’Anne Lindner et “Powers of Recall” de Christian Neuman – ce sera une expérience inhabituelle, pleine de couleurs – un vrai plaisir pour les yeux!
BREATHE | RESPIRE
C’est en août-septembre 2019, dans le cadre d’une foire internationale d’art en Corée que Florence Hoffmann crée l’installation « Breathe » | Respire. Inspire. Expire.
Celle-ci est composée de cinq bustes rouges dont les nez, les bouches, les yeux ou les fronts sont couverts par des livres-filtres-masques blancs que la plasticienne a façonnés.
La réflexion s’axe autour de plusieurs thématiques :
– Le livre en tant que filtre, en tant que vecteur d’information filtrant, couplé aux notions de lectures inspirantes, d’écrits suffocants ;
– Les problèmes sociétaux du moment : incendies dévastateurs en Australie et dans la forêt amazonienne, rassemblements à Hong-Kong avec l’interdiction du port de masques par les autorités afin d’identifier les manifestants, pollution de l’air ;
– L’évocation d’une société normative, uniformisante ;
– Une réflexion sur l’identité, sur le genre ;
– Une réflexion sur la maladie, sur certaines pratiques de l’après seconde guerre mondiale (têtes chauves) ;
– Des questionnements au sujet des rapports de force, au sujet de la violence humaine.
Cette nouvelle création est en adéquation avec la recherche que l’artiste mène depuis quelques années autour du livre et avec les livres comme matière première pour ses créations et dont elle explore les limites techniques et physiques.
C’est à partir de novembre 2019 que « Breathe » évolue.
L’installation originelle est inerte et fixe ; Florence Hoffmann y inclut le vivant et le mouvement. Dès lors, la plasticienne invite les gens à se faire photographier en train d’appréhender, de manipuler ces objets composites et de s’y confronter.
Ainsi est amorcée la constitution d’une collection photographique exclusive de portraits en noir et blanc dont à ce moment-là, l’artiste ne sait pas encore où tout cela la mènera. Et si cela la mènera à quelque chose ? Quoiqu’il en soit elle capte les moments. Elle les fixe. Tous les possibles sont ouverts.
L’essence de ce travail se situe aussi en son amont : approcher les gens, leur expliquer le projet et son concept, les mettre en confiance, les écouter et les accompagner lorsque par exemple ils questionnent leur image alors qu’ils se prêtent au jeu d’un photo shooting parfois improvisé.
Il est intéressant de noter qu’en novembre 2019 de rares personnes se protégeront par le port d’un masque pour des raisons d’ordre personnel relevant de la prudence. Porter un masque apparaît à cette époque comme étant quelque chose d’incongru, de bizarre, et l’on peut même être amené à les taxer d’hypochondriaques. Le mot pandémie est alors pour ainsi dire inconnu au bataillon.
Dans la foulée, l’artiste crée une page Facebook publique spécifiquement dédiée à « Breathe ».
En mars 2020 « Breathe », dont la création s’avère bien antérieure à l’apparition du Covid-19, est rattrapé par la pandémie. Le projet prend une tournure imprévue et incontrôlable, au grand dam de sa conceptrice. En effet, certaines personnes font un amalgame et réduisent « Breathe » à son seul aspect masques.
Au même moment de ce premier confinement, le cartooniste français Joann Sfar diffuse un dessin présentant deux personnes se faisant face et portant un livre en guise de masque. Ayant publié une telle photo sur la page Facebook de « Breathe » en décembre 2019, Florence Hoffmann le prend comme un compliment. Tout en ressentant tout de même une certaine sidération par rapport au fait d’être qualifiée de visionnaire par certains.
Passant cependant outre, la plasticienne continue à développer « Breathe ». Elle l’ouvre à la participation citoyenne, confinement oblige. Florence Hoffmann lance une invitation sur les réseaux sociaux et invite tout un chacun à fabriquer ses propres livres-masques-filtres, avec les moyens du bord et dans le respect de critères bien précis. Les clichés lui sont envoyés par courriel. Suite à quoi elle les retravaille et les adapte à son concept, tout en acceptant le fait que les qualités picturales et techniques puissent être inégales. Ce n’est pas cela qui prime. Les petits défauts sont pour elle de précieux et émouvants témoignages de la réalité des uns et des autres.
C’est ainsi que lui parviennent des contributions recherchées, ludiques et créatives en provenance des quatre coins du globe : Luxembourg, Italie, Turquie, Azerbaïdjan, Japon, Brésil, Belgique, Espagne, République Tchèque, Slovénie, Pérou, Ukraine.
Le 25 mai 2021 un événement tragique marque Florence Hoffmann : alors qu’il est brutalement appréhendé par la police, l’américain George Floyd répète désespérément « I can’t breathe ». Son décès et la portée de ces mots au sens propre comme au sens figuré affectent profondément la plasticienne qui, en conséquence, suspend « Breathe ». Le temps d’un deuil, d’un certain respect dont elle estime qu’il est dû, avant de pouvoir décemment – à ses yeux – reprendre le projet.
Assurément inscrit dans son temps, « Breathe » constitue une documentation photographique et un témoignage sociétal singuliers, comptabilisant actuellement plus de 180 portraits dont les protagonistes sont issus de 12 pays : artistes, auteurs posant avec leur propre livre, personnes publiques dont quelques politiques, inconnus dont certains se présentent avec leur livre favori.
Les clichés suivent une certaine chronologique. Ils sont rassemblés en des compositions graphiques étudiées avec soin.
L’ensemble étant passablement dense, il est conseillé de l’appréhender en prenant son temps. Des thématiques sous-jacentes seront ainsi aussi susceptibles d’apparaître.
Le projet n’étant pas encore clos, toute personne intéressée à participer à « Breathe » est invitée à contacter Florence Hoffmann.
Que soient remerciés pour leur participation :
Marc Mergen, Noël Mergen, Nora Zrika, Orie Duplay, Serge Koch, Rita Sajeva, André Depienne, Anne Thinnes, Polyanna Vergidiou, Noemi Salas et Alfredo, Rafael Springer, Nicolas Decker, Ann Vinck, Martine Deny, Egberdien Van der Peijl, Pascale Kolb,
Jean-Jacques Schonckert, Sylvie Reusch-Heinen, Nadine Zangarini, Gerold Mayer, Edmond Mariany, Heather Carroll, Ania Mat-i Polfer, Serge Moulin, Christophe Daudigny, Pascale B-Collmer, Zoé Fonck-Behrens, Bettina Ghasempoor, Aïda Patricia Schweitzer, Dany Ka, Ren Spautz,
Mauro Doro, René Reimen, Olena Reimen, Valérie Demogeot, Fabrice Montebello, Sara Montebello, Jim Laera, Mariette Flener, Maryse Linster, Miriam R. Krüger, Claus-Peter Boehner-Fery, Sophie Medawar, Laurent Turping,
Cédric Coustenoble, Clément et Emilie, Maria Di Lauro Tomasini, Guy Martin dit de Gutz, Jean-Claude Salvi, Luan Lamberty, Patricia Lippert, Anne Lindner, Kim Shortgen, Matthieu Vanham, Simon Vanham, Thomas Vanham, Patricia Dezwaef, Sarah Dabertrand, Marie-Josée Kerschen, Caroline Van Langendonck,
Assy Jans, Patrick Hurt, David Deffaux, Gery Oth, Lis Prussen, Adeline et ami, Miguel Nunes, Josée Lorsché, Frank Stankus, Gaudiose Mukarugwiza, David, Salima et bébé,
Günseli Toker, Behcet Toker, Anna Ledeneva, Nikita et Evgeni Ledenev, Andrey Prakhov, Dmytro Polishchuk, Valeriya Tochka, Irina Shostal, Lara Steffe, Marcia De Bernardo, Charlotte Frank, Jorg Van Daele, Yves Frising, Anne-Marie Gille, Mihail Levchenko,
Georges Haas, Mme Dahmen, Jacques Schneider, Olga Gurina, Damjan Komel, Maurice Martin, Valeria Vitulli, Placido Rodriguez Bonnin, Marina Sych, Miguel Angel Velit, Michou Wingert, Martin Kuchar, Adil Youssif, Bettino Francini,
Florence Haessler, Svetlana, Siham Menhem, Alain Müller, Marie-Claire Von Graes, Sylvie-Anne Thyes, Chantal et Lisa, Manu Weckbecker, Frank Jons, Laurent Zeimet, Georges Rischette, Raymond Colombo, Monique Becker, Melting Pol, Angélique Arnould, Juliette Haag, Viviane Briscolini, Princesa Prussen,
Brigitte Tesch, Daniel Tesch, Arthur Zeimet, Tim & Struppi, Thierry Lutz, Josée Olinger-Proth, Malou, Denise Ruppert, Fons Ruppert, Isabelle Hallu, Steve Reiffers, Malou Faber-Hilbert, Alain Welter, Cédric Renel, Carine Mertes, Charel Mertes et Sandy,
Vince Arty, Monique Mahowald, Nathalie Becker, Fabrice Genot, de Bolly, Corinne Goetz, Chanti Thei, John Schmit, Diane Jodes, Mila Hall, Robert Hall, Rol Steimes, François Besch, Carole Trierweiler,
Christiane, Gérard Claude, Isabelle Pirson, Richard Mignot, The’d Johanns, Reiny Rizzy Gruhlke, Laurent Henn, Henri Goergen, Harry Daemen, Natasha Ipatova, Nathan et Dalia et Sacha, Gaby Frisch, Raymond Clement,
Lilly Turping, Kit Empire David Omhover & Emmanuel Fey, Chantal Blasen, Yvette Rischette, Antonia, Théo Geschwind, Claude Lamberty, Nathalie Noé, Nikolas Sofronis, Mi Hee Lentz-Pak, Claudine Maillet, Gilles Wünsch, Joëlle Daubenfeld, Yuma, June, Lily Scholtes, Daniel Mac Lloyd, Jeff Keiser, Roland Briscolini,
Karin Mayer, Tino Camarda, Sylvia Camarda, Yann Tonnar, Angela Urso, Nicole Huberty, Norbert Walisch, Myriam Zimmer, Maggy Juncker, Claudine Simon, Rui Moura, Marc Simon, Xenia Moro, Jean-Paul Thiefels, Jean-Marc Weckbecker,
Menni Olinger, Alla Karabach, Lex Kaufhold, Eck Lunkes, Edgar Kohn, Françoise Alex, Thierry Hick, Réjane Nennig, Madeleine Putz, anonymes.
Plus d’infos sur l’exposition ici.
Dans le cadre de l’exposition, l’artiste a également remis un collage photographique (commissionné en 2021) au Conseil communal en sa séance du 18 mars 2022 :