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E Bléck op d’Ausstellung ‘Am Laf vun der Zäit’

Jean-Pierre JUNIUS (1925-2020)

Jean-Pierre Junius est né à Dudelange en 1925 et a grandi à Kopstal.

Après avoir obtenu son diplôme à Luxembourg il déménage à Paris où, durant quelques mois, il fréquente diverses écoles d’Arts comme auditeur libre.
À son retour au Grand-Duché, il devient d’abord instituteur à Wiltz, pour ensuite s’installer à Schifflange à partir du 1955, dans une réclusion délibérément choisie, surtout après la mort de son épouse.

Junius est désormais considéré d’un commun accord comme un des pionniers de la scène artistique luxembourgeoise.

Pendant les années 50, années parisiennes, il peint des natures mortes, des scènes d’intérieur, ainsi que des vues urbaines. Ce sont les années figuratives, caractérisées en outre par sa participation au Salon des Indépendants en 1956 dans la Ville Lumière et la remise du Prix Grand-Duc Adolphe en 1958 dans sa terre natale.

À ce stade, la peinture est exécutée par des champs de couleurs, aplaties à l’étalement et juxtaposées. Cette exécution expressive crée une suggestion particulière, comme suspendue hors du temps et de l’espace, aussi par l’absence de la figure humaine. Il est facile d’y percevoir des sensations d’égarement, de solitude et d’aliénation.

Plastiquement, l’œuvre achevée ne laisse transparaître la technique. Les couleurs sont employées dans une expression dramatique et les volumes naissent des mélanges de couleurs, des dégradés ainsi que des contrastes clairs-obscurs.

Les années soixante représentent un tournant dans le style du peintre : ses tableaux ouvrent une nouvelle voie vers l’abstraction.
Toujours en gardant un esprit critique, il se concentre sur des valeurs essentielles. Ses œuvres incarnent des réponses personnelles aux ennuis du quotidien, propres à l’artiste ou à l’histoire de l’homme – dont il est un témoin sensible et attentif.

Dans ses tableaux nous trouvons une multitude d’instantanés de moments de la vie quotidienne. Celles-ci illustrent des scènes de petites joies partagées, fixées sur le support lors des festivités, des événements et des voyages.

Mais les références figuratives ne disparaissent jamais réellement de ces nouvelles œuvres. Les titres des tableaux révèlent toujours le sujet de la scène représentée.

Le peintre a déclaré que le figuratif et le non-figuratif ne constituent pas des approches complètement différentes ; contrairement à ce qui nous est offert comme abstrait est : « […] toujours lié à la mise en forme picturale d’un déclencheur visuel concret. » Par cette phrase Junius nous définit que toute action est pensée et réfléchie. L’art abstrait porte une idée, une construction bien réelle et le résultat n’est pas le fruit du hasard mais bien un aboutissement du cheminement d’une profonde réflexion.

Les 3 œuvres exposées actuellement à la galerie « Schëfflenger Konschthaus », interprètent précisément les caractéristiques de l’ensemble de l’œuvre de l’artiste.

E Bléck op d’Ausstellung ‘Am Laf vun der Zäit’

ELEVATION

DANIELE BRAGONI – sculpture Marbre Blanc et Pierre Bleue, 2016

Si l’on s’en tient au titre de l’œuvre, on comprend que l’artiste par sa pensée positive, démontre que l’homme peut grandir, se tenir debout pour avancer dans la vie. Puisque nous parlons de vie, c’est bien de cela qu’il s’agit.

En observant l’œuvre, on remarque la répétition d’une forme « le Bragonium ». Cette forme répétée, l’artiste là créée en premier temps comme élément unique. Ensuite avec l’évolution, la réflexion, il a compris que cette forme peut se déployer à l’infini. Puisque le Bragonium est une « section » comparable à la représentation de l’A.D.N. en la répétant nous avons une forme qui de profil ressemble au graphique de l’A.D.N. représenté scientifiquement. Ceci pour la forme.

De plus, l’œuvre composée de sept ondes en marbre blanc et pierre bleue, a été créée par l’artiste pour porter les symboles suivants :

Les sept éléments représentent les sept jours de la semaine. Ceci fait partie du rythme de la vie de chacun d’entre nous. Elle est aussi un symbole de l’homme debout qui se relève quoi qu’il arrive. Elle existe pour donner du courage, pour être fier de ce que nous faisons pour construire notre vie.

Elle est une onde qui nous invite à rayonner autour de nous les sentiments, les pensées positives que nous portons.

A l’entrée de l’hôtel de ville, elle est là pour nous rappeler que tous nous pouvons nous identifier à cette œuvre, comme une indication nous signifiant que nous sommes une personne qui chaque jour travaille pour s’élever dans la société.

Au regard de la partie philosophique de l’œuvre et de sa relation avec l’espace et le public, d’autres éléments entrent en jeu.

La sculpture se trouve dans un hall et les visiteurs passent à côté d’elle. La première chose qui se passe, la personne aura l’attirance de la toucher. Elle est conçue pour cela, des formes douces, quasi humaines. En se trouvant à proximité de l’œuvre, nous sommes devant quelque chose plus grand que nous, et cette dimension verticale crée une énergie positive. Ensuite il peut la contourner et perçoit le mouvement que donne la forme ondulatoire de l’œuvre. Par ces effets optiques des différents points de vue, l’œuvre semble toujours changeante et nous avons toujours l’idée que nous découvrons un autre aspect de la forme.

Une telle œuvre est un accueil en elle-même, car sa beauté esthétique attire et comme nous le savons quand nous voyons quelque chose de beau cela nous rend heureux.

Seniorenturnen – Bleift aktiv

 Och eis eeler Biergerinne wëllen aktiv a fit am Liewe bleiwen. Dofir treffe si sech all Dënschden vun 15.30 bis 16.20 Auer am Turnsall vun der Lydie Schmit-Schoul fir sech ënnert der Leedung vum Myriam Sagramola mat spezifeschen an hirem Alter ugepassten Übungen ze beweegen. Et gëtt kee gestresst oder forcéiert, NEEN jidderee mécht no sengem Rhythmus an no senge Méiglechkeete mat. Freed um Sport gëtt an eiser Ronn grouss geschriwwen an dofir gëtt och ganz vill zesumme gelaacht.

 

Wéi Dir op der Foto gesitt, si mär momentan e renge Fraegrupp. Mär géifen eis awer freeën, deemnächst och e puer Hären an eiser flotter a lëschteger Ronn begréissen ze kënnen. Dofir hei e klengen Opruff un eis Härewelt: Kommt, kuckt Iech et un a macht einfach mat!

 

Mär ginn Iech elo scho Rendezvous den 29. September 2020 um 15.30 Auer am Turnsall vun der Lydie Schmit-Schoul.

 

Wann Dir nach weider Froen hutt, dann zéckt  net a rufft d’Myriam Sagramola op der Telefonsnummer 621 767 538  un oder schéckt him eng mail op: .

Opgepasst: héich Temperaturen am Auto

Denkt w.e.g drun, Puppelcher a kleng Kanner wéi och Muppe bei dësen héijen Temperaturen NET am Auto ze loossen. Hei besteet Liewensgefor!

Pensez svp à NE PAS laisser les bébés, les petits enfants ou les chiens dans la voiture dans ces températures élevées. Il y a danger de mort!

E Bléck op d’Ausstellung ‘Am Laf vun der Zäit’

CRÉPUSCULE À SCHIFFLANGE
Fern Bertemes – huile sur toile, 2009

Une première période très prolifique de la vie artistique du peintre a été fortement caractérisée par la compénétration de la peinture et de l’architecture.

À cette époque, les études de Bertemes l’ont conduit à vivre dans des grandes villes comme Berlin et New York, que l’artiste a peint et dont il a témoigné une mutation perpétuelle. À la base de ses œuvres se situe la peinture-architecture comme une preuve incontestable du cours de l’histoire et ainsi de l’évolution socio-politique de ces jours.

Le peintre apporte avec lui cet esprit d’observation et de témoignage à son retour au Grand-Duché de Luxembourg. Il se consacre à un exercice d’observation statique et obstiné, spectateur d’un dynamisme inarrêtable qui, au cours des dernières décennies, a complètement transformé le visage de notre pays. Notamment la ville d’Esch et ses alentours représentent pour Bertemes à la fois des souvenirs d’enfance et un avenir inéluctable, parfois perçu comme « la chronique d’une mort annoncée », ce qui donne à l’artiste un regard nostalgique et sceptique.

De là, naissent comme il les définit lui-même, des « documents d’archéologie industrielle », que nous vous invitons à découvrir sur la page personnelle de l’artiste; cela pour voyager dans le temps et dans l’espace et pour découvrir davantage l’histoire de notre pays, et pas seulement.

Ici une des pièces les plus représentatives de la collection de la commune, intitulée « Crépuscule à Schifflange ». Elle est une œuvre de grand format, comme il est dans les coutumes de l’artiste. Cette toile a pour objet le complexe industriel, désormais désaffecté, de l’Arbed Esch-Schifflange. L’artiste montre constamment une forte attention vers l’intégration de la réalité artificielle de l’homme – et des fruits de son travail – dans le paysage naturel. La partie architecturale dans ce cas particulier semble prévaloir, par rapport à d’autres toiles de la même période: les bâtiments peints d’une qualité nette, s’élèvent dans une nature inculte et indomptable. Cependant, le drame et l’aspect dramatique de l’élément naturel sont presque éminemment attribués au ciel et au jeu de réflexion, auquel le plan d’eau se prête. De la netteté de l’exécution des bâtiments se détournent les courts coups de pinceau utilisés dans la représentation des arbustes et les plus longs sont principalement utilisés pour le ciel. La peinture de Bertemes est une peinture de couleurs contrastées et visiblement texturale, qui derrière un apparent et délibéré non finissage, visible au bas de la toile, cache une maîtrise stylistique reconnaissable dans chacune de ses créations.

„Schëfflenger Konschthaus“ – Am Laf vun der Zäit

Den eeleften August 2020 huet a Presenz vum Buergermeeschter Paul Weimerskirch, de Schäffe Marc Spautz a Carlo Lecuit a verschidde Memberen aus dem Gemengerot de Vernissage vun der Ausstellung “Am Laf vun der Zäit” am klenge Krees statt fonnt.

De Buergermeeschter ass op dat neit Konzept vum “Schëfflenger Konschthaus” a gaangen. D’Galeristin d’Claudia D’Incà huet erkläert wei an de verschidden Tableaue vun de Kënschtler déi historeschen a sozialen Entwécklung vu Schëffleng duergestallt gëtt.

D’Ausstellung ka vu Méindes bis Samschdes vun 10.00 bis 12.00 Auer a vun 13.00 bis 18.00 Auer besicht ginn (11.08 – 10.09).

Samschdes de 15 August ass d’Galerie zou!

Opgepasst : Brandgefor !

Mir rappelléieren, datt et strikt verbueden ass am Bësch Feier ze maachen. Et dierf net gegrillt ginn an et dierfen och keng Zigarettestëmp am Bësch entsuergt ginn.

Corona update: Solidaritéit, Disziplin a Responsabilitéit

Wéi der dëser Deeg an ärer Boite konnt feststellen, huet d’Gemeng Schëffleng een neien Dépliant a 5 Sproochen verëffentlecht mat Informatiounen zur aktueller Corona-Situatioun.

 

 

 

Recommandations lors d’une vague de grande chaleur

–  Si vous avez dans votre entourage une personne âgée ou malade qui vit seule, il sera important d’aller quotidiennement chez elle, pour notamment vérifier qu’elle dispose de suffisamment d’eau minérale et qu’elle en consomme assez.

–    Assurez-vous qu’elle consomme au moins 1,5 litre d’eau par jour ;

–    Veillez à ce qu’elle passe plusieurs heures par jour dans des endroits frais ou à l’ombre ;

–    Fermez les fenêtres – et volets des fenêtres exposées au soleil – pendant la journée ;

–    Assurez-vous qu’elle prend régulièrement des douches ou bains partiels rafraîchissants.

Insektenhoteller

En Hotel fir Insekten – firwat soll dat gutt sinn? Sinn Insekten net kleng genuch fir iwwerall kënnen ënnerzekommen?

Leider net.

Duerch den Agrëff vun de Mënschen huet sech d’Naturlandschaft esou staark verännert, dass nëmmen nach wéineg natierleche Liewensraum fir d’Insekten iwwreg ass. Andeems een Insektenhoteller opstellt, kann een deem entgéint wierken an de klengen Déieren eng Plaz bidden fir hier Näschter ze bauen an ze iwwerwanteren.

An eiser Gemeng fann dir eng ganz Rei déier Insektenhoteller, ëm déi sech eis Gärtnerequipe këmmert. Dir fannt se op folgende Plazen:

  • an der Millestrooss – beim rond-point beim Sumpfgebitt
  • Um Benn – am Park bei der Blummewiss
  • Op Hudelen – bei der Blummewiss
  • bei der Albert Wingert Schoul bei der Haaptentrée
  • an der Liberatiounsstrooss – op der Héischt vum Schëfflenger Konschthaus
  • beim Hall Polyvalent an der Blummewiss
  • op der Gemengeplaz am Uebst- an Insektegaart
  • an der Escher Strooss och bei der Blummewiss

All eis Insektenhoteller si gutt besat. Dir kënnt Iech se gäre bei Ärem nächsten Trëppeltour méi genau ukucken.